Étiquette : alimentation vivante

La noix tigrée / le souchet

La noix tigrée / le souchet

Tous les bienfaits de la noix tigrée / le souchet

Taboulé cru

Taboulé cru

Taboulé d’été cru, paleo, sans gluten, sans lait

[8 ingrédients]

Comment choisir son eau en naturopathie?

Comment choisir son eau en naturopathie?



Comprendre la qualité de l’eau grâce à la bioélectronique de Louis-Claude Vincent.


Boire de l’eau pour nettoyer son organisme et s’hydrater, oui ! mais pas n’importe laquelle.
Toutes n’ont pas la même qualité.

Louis-Claude Vincent, un ingénieur hydrologue, a mis au point la bioélectronique, en 1948, à l’aide de plusieurs scientifiques. Ce sont plusieurs paramètres qui permettent d’évaluer la qualité de l’eau que nous ingérons.
Selon ces paramètres, l’eau n’aura pas le même impact sur un organisme. 

Il faut éviter à tout prix les eaux trop minéralisées. Souvenez-vous toujours de cette phrase :

« L’eau sert plus par ce qu’elle emporte que par ce qu’elle apporte » Louis Claude Vincent.

Pourquoi ?

Notre corps ne peut pas assimiler les minéraux contenus dans l’eau [exception faite de celle de René Quinton et des fruits & légumes]. C’est l’alimentation qui doit nous les apporter.

Pour que les minéraux soient absorbés par le corps de l’Homme, il faut qu’ils soient d’abord assimilés par des végétaux ou des tissus animaux.

L’eau doit avant tout permettre l’élimination des toxines et des déchets dans notre corps. Quand nous buvons de l’eau riche en minéraux, la cellule ne peut les assimiler, ils vont alors venir se déposer dans les tissus, sur les articulations et surcharger le travail du foie et des reins. Une eau fortement minéralisée encrasse le corps de cristaux [terme naturopathique qui désigne des déchets acides qui créent de l’inflammation]

Il existe deux types d’eau en bouteille : l’eau minérale, très fortement minéralisée (tentez de ne pas en consommer) et l’eau de source (peu minéralisée).

Caractéristiques d’une bonne eau



Ainsi, pour bien choisir son eau en bouteilles, il faut être particulièrement attentif :

♦ au niveau de minéralisation de l’eau.

C’est le taux de résidus à secs qui l’indique, et donne des indications sur sa concentration en minéraux.

Ce niveau doit être inférieur à 50mg/L.

Selon, Louis-Claude Vincent : « toute eau dont la minéralisation est supérieure à 150mg/l est une eau qui ne doit jamais être bue. C’est une eau entartrante, sclérosante, facteur de vieillesse prématurée ».

On distingue 4 types d’eau :

– Très faiblement minéralisée : teneur en sels minéraux dans l’eau inférieure à 50 mg/l (résidu sec à 180°C).
– Faiblement minéralisée : teneur en sels minéraux dans l’eau inférieure à 500 mg/l (résidu sec à 180°C).
– Moyennement minéralisée : teneur en sels minéraux dans l’eau entre à 500 et 1500 mg/l (résidu sec à 180°C).
– Fortement minéralisée : teneur en sels minéraux dans l’eau supérieur à 1500 mg/l (résidu sec à 180°C).

♦ au pH.

Il s’agit de la mesure de l’acidité ou la basicité de l’eau.

– Entre 0 et 7, on parle d’un pH acide ;
– 7 d’un pH neutre;
– et de 7 à 14, d’un pH basique.

Le pH idéal pour une eau en bouteilles doit se situer entre 6 et 7.

♦ au rh2.

C’est le potentiel d’oxydo-réduction. Cela nous renseigne sur le potentiel réducteur (de 0 à 28) ou oxydant (de 28 à 42) d’une solution. Il se mesure en mV. Ici, il doit être inférieur à 28. Le rH2 est également appelé le redox, ou le facteur électrique. Cela mesure le taux électrons d’un milieu, son oxydation plus précisément. [Un électron est une particule élémentaire extrêmement légère, gravitant normalement autour du noyau atomique, et chargée d’électricité négative.]

La jeunesse est définit par un coefficient d’oxydo-réduction bas : environ 22 ; le vieillissement, au contraire, se traduit par un coefficient élevé.

Avec cette mesure, deux milieux émergent :

– un milieu réduit : coefficient inférieur à 28 (de 1 à 27,9).
– un milieu oxydé : coefficient supérieur à 28 (de 28,1 à 42).

♦ au rhô

C’est la résistance d’un liquide lors d’un passage d’un courant électrique. Cela permet de mesurer la viscosité ionique.

Élevé = solution très pure, et faiblement minéralisée, à savoir au-dessus de 6000 ohms.
Bas = solution riche en minéraux et chargée de métabolites.

L’eau du robinet a souvent une résistivité qui se situe autour de 1000 ohms, ce qui révèle une forte charge minérale.

En résumé

Une eau parfaite réunira ces 4 critères :

♦ Résistivité supérieure à 6000 ohms.

♦ pH entre 6 et 7.

♦ rH² inférieur à 28 (entre 21 et 28 précisément).

♦ Taux de résidus secs inférieur à 50 mg/l.


Quid de l’eau du robinet ?

L’eau du robinet est potable, et plusieurs personnes mettent en lumière la chance que nous avons, d’avoir accès à cette eau en permanence.

Seulement ce qui n’est pas dit c’est que, même après traitement, elle contient encore de nombreux pesticides, des détergents, des phtalates qui nous viennent des matériaux des tuyaux, du chlore pour l’assainir (un élément cancérigène), des résidus médicamenteux et, enfin, des hormones qui proviennent des urines des femmes sous contraceptif (pilules). Malheureusement, les carafes d’eau comme Brita, ne suffisent pas à trier tous les résidus que l’on trouve dans l’eau du robinet.

Et le plastique ?

Malheureusement, acheter de l’eau en bouteille induit un point négatif : celui des emballages en plastique.

Outre l’aspect écologique, les molécules de plastiques se transfèrent dans l’eau et il a été prouvé qu’elles possèdent des effets de perturbateurs endocriniens.

Pour ne pas s’exposer à ce danger de manière accrue, on va veiller à :

♦ ne jamais réutiliser les bouteilles en plastique lorsqu’elles sont vides.

♦ ne jamais laisser les bouteilles en plastique au soleil (cela accentue le transfert de molécules).

♦ Chaque emballage plastique doit, en théorie, présenter un numéro. Vous le trouverez en général en dessous du produit. Un système de code à 7 chiffres permet d’identifier le plastique. Tous ces plastiques ne présentent pas la même toxicité. Certains sont inertes et non toxiques. D’autres relarguent des phtalates, du bisphénol A, du styrène et d’autres perturbateurs endocriniens.

Lesquels sont plus sûrs ? Celles avec le numéro, 2, 4 ou 5.

Quelle eau choisir ?

Quelles sont les marques d’eau de qualité ?

En magasins biologiques vous trouverez les marques Rosée de la reine, Montcalm et Mont Roucous.

Carrefour : Mont Roucous, et Grand Barbier.

Leader Price : Volcania.

Super U : Montcalm.

Dans les autres magasins : Volvic (en dernier recours).

Les eaux comme Hépar (riche en magnésium), Vittel ou Contrex (riche en calcium) ou Badoit (riche en fluor) sont à éviter absolument !


Vous souhaitez faire un rééquilibrage alimentaire, ou vous avez un soucis de santé ? Je peux vous accompagner avec la naturopathie, à mon cabinet ou à distance, en téléconsultation, par téléphone / Skype / autres outils.

Cliquez ici pour en savoir plus !


Salade crue, tagliatelles de courgettes & carottes

Salade crue, tagliatelles de courgettes & carottes

Saladre crue, paleo, sans gluten, sans lait

[7 ingrédients]

Le jus de citron le matin, bon ou mauvais ?

Le jus de citron le matin, bon ou mauvais ?

Naturopathie : Le jus de citron, au matin, bon ou mauvais ?

La baie de goji

La baie de goji



La baie de goji, rubis de longévité

La baie de goji est souvent placée en tant que superaliment, tout comme le chocolat cru ou le pollen frais par exemple
Bienfaits du chocolat cru – clic !
Bienfaits du pollen frais – clic !

Les propriétés de cette baie sont très larges et s’expliquent par sa composition.

Histoire & provenance

La baie de goji est le fruit d’un arbuste, appelé le lyciet . Il se développe à l’ombre et de la même façon qu’une plante grimpante.
La couleur des baies va du jaune pâle, à l’orange intense et au rouge foncé.

Leur taille est semblable à celle du raisin de Corinthe, mais il existe certaines variétés qui rappellent la forme d’un ballon de rugby et du poivron.
En Asie, on compte environ 85 variétés de baies de goji, quand en Amérique centrale et du Nord, on en compte une quinzaine.
Cela indiquerait que la baie de goji a été introduite en Amérique du Nord par des peuples asiatiques venus de la mer, ou du pont de terre du détroit de Béring.

Les baies de goji s’adaptent à tous les climats. Elles poussent de façon vigoureuse dans les régions désertiques inhospitalières, mais aussi dans les régions tropicales et tolèrent les hivers les plus rudes. Ainsi, elles peuvent supporter des amplitudes thermiques journalières de plus de 20°C. Ce qui nous en dit long sur sa robusté et sur la force dont elle dispose.

Légendes et faits historiques


Dans le système de Linné, système moderne de classification des plantes, la plante donnant ces petites baies a été classée dans le genre Lycium ou Lyceum, ce qui signifie, en grec, « lieu d’apprentissage ». Les maîtres herboristes chinois étaient persuadés que ces baies avaient le pouvoir de transmettre toute la connaissance de la pharmacopée de l’herboristerie chinoise. Qu’elles renfermaient des trésors de vérité. Il suffisait pour y avoir accès de les manger.

Dans la tradition chinoise, l’esprit (le deva) de l’arbuste de cette baie est souvent représenté sous l’aspect d’une jeune femme virile qui ne vient pas d’ethnie asiatique.

Du fait de leur valeur nutritive extrêmement élevée, de leur couleur vive rouge-orange et de leur goût acidulé, sucré et agréable, ces baies sont cultivées par les populations mongoles, chinoises et tibétaines depuis des millénaires (5000 ans, environ). Afin de les conserver, les fruits sont souvent déshydratés. C’est pour cela que l’on trouve souvent en magasins biologiques des petites baies à l’aspect fripé, semblable à celui des raisins secs.

Par ailleurs, il est intéressant de relever que l’on enregistre plus de centenaires dans la province de Ningxia, où la plante est cultivée, et les baies consommées, que dans le reste du pays (Chine). Les Chinois ont conservé au fil des années a croyance que les baies de goji peuvent prolonger la vie de façon considérable.

Li Qingyun, célèbre médecin, pharmacien et herboriste de médecine chinoise traditionnelle, aurait vécu 252 ans (1678-1930) et consommait quotidiennement ces baies (ainsi que du ginseng, un autre superaliment). Selon la légende, il était âgé de 11 ans lorsqu’il rencontra trois sages taoïstes, âgés de plus de 300 ans.Ils lui enseignèrent la science et l’art de la longévité, du régime « parfait » et de l’herboristerie. Il se murmure également, qu’à l’âge de 50 ans, il aurait rencontré un autre sage, lui âgé de 500 ans. Il lui demanda alors son secret de longévité, ce à quoi il répondit une soupe de baies de goji quotidienne. Suite à quoi, tous les jours, Li Qingyun se prépara une infusion composée de baies de goji, ginseng et champignons reishi.

Au Tibet, la culture de cette petite baie remonte à 2500 ans. Elles sont reconnues par l’École de médecin tibétaine de Lhassa comme étant un superaliment.

La baie de goji était un aliment également important chez presque toutes les tribus natives américaines des régions désertiques du Sud-Ouest, comme les Hopis, Apaches, Supai, Hohokams, Pimas, Anasazis.
Les Apaches, par exemple, vivaient principalement de baies de goji, de pastèques, de noix, de pommes, de raisins, de plantes, d’herbes, d’eau de source, de gibiers et de poissons. Ils étaient réputés pour leur force, agilité, longévité et résistance inouïs.



Le lyciet


Comment bien les choisir ?


L’arbuste qui donne ces petites boules rouges orangées est dit « adaptogène ». Il s’agit d’un terme que l’on utilise dans le monde des plantes médicinales pour parler d’une substance qui offre une large gamme d’effets thérapeutiques sur l’organisme humain. Ainsi, une plante adaptogène renforce le système immunitaire en aidant l’organisme à mieux gérer le stress, grâce à son action bénéfique sur les glandes surrénales (garantes de la libération des hormones du stress, de l’action : cortisol et adrénaline).

En médecine traditionnelle chinoise, on confère à la baie de goji la capacité à harmoniser l’énergie yin des glandes surrénales et des reins, améliorant ainsi la résistance, la force, la longévité et l’énergie sexuelle.

Des vitamines, minéraux et acides aminés

♦ Cette petite baie convient à quasiment toutes les personnes. Elle est, comme le pollen, une source complète de protéines. En effet, elle renferme dix-neuf différents types d’acides aminés, et en particulier les huit acides aminés essentiels. Les acides aminés essentiels sont ceux que notre corps ne peut produire par lui-même. Il faut donc les lui apporter à travers l’alimentation. On y trouve notamment de la phénylalanine, qui renforce les glandes surrénales, et le tryptophane qui augmente la production de sérotonine, le neurotransmetteur du bien-être et du bonheur.

♦ Elle contient jusqu’à 21 oligo-éléments, principalement du zinc, du fer, du cuivre, du calcium, du germanium, du sélénium et du phosphore.

♦ Pour ce qui est des vitamines, la baie de goji est riche en vitamine B1, B2, B6 et E. En ce qui concerne leur richesse en vitamine C, cela ne serait qu’un mythe. En effet, plusieurs échantillons ont été analysés par des laboratoires fiables et leur teneur était proche de zéro. Il est dit que seules les baies fraîches seraient riches en vitamine C. Or, cette vitamine est très sensible au contact de l’air, à l’oxydation. Elle se dégrade rapidement, ce qui expliquerait son absence dans les petites baies séchées et fripées que l’on retrouve dans nos commerces.

Selon la variété et la culture, 100 grammes de baies contiennent environ 11 mg de fer, du bêta-sitostérol (une substance anti-inflammatoire), de l’acide linoléique (un acide gras essentiel au bon fonctionnement du corps).

Hormone de croissance

♦ Les baies de goji stimuleraient notre production d’hormone de croissance qui diminue automatiquement avec l’âge. En effet, elles sont riches en sesquiterpènes, une substance aux propriétés anti-inflammatoires, stimulant la glande pituitaire et pinéale, qui libèrent ainsi plus d’hormone de croissance. On l’appelle également GH, ce qui signifie Growth Hormone.

A quoi sert-elle ?

Elle a pour rôle de multiplier la quantité de cellules présentes dans notre corps, mais aussi de développer nos muscles et nos os. Elle lutte donc contre le vieillissement cellulaire en permettant la production de cellules neuves.

Des chercheurs ont mis en lumière le fait que cette baie est l’aliment le plus efficace pour lutter contre le vieillissement, tant et si bien qu’elle a été surnommée le fruit de la longévité.

Par exemple, un homme de 70 ans produit 1/10 du taux d’hormones de croissance produit par un homme de 20 ans. Lorsque l’hormone de croissance augmente, l’organisme humain parait alors plus jeune et tout son fonctionnement en est ainsi amélioré.

Par ailleurs, ces petites baies sont riches en L-glutamine et L-arginine, deux acides aminés qui permettent justement l’augmentation de l’hormone de croissance.

Des antioxydants

♦ Un antioxydant est une molécule qui aide le corps à se libérer des radicaux libres qui causent des dommages à nos cellules (les radicaux livres oxydent nos cellules).

Ces radicaux libres sont apportés en grande quantité, par une nourriture en abondance, le tabagisme, les infections, le stress, l’exposition solaire prolongée, l’exposition aux polluants, les ondes électromagnétiques, le manque de mouvement, etc. Pour contrer les effets des radicaux libres, on parle de plus en plus de l’importance des antioxydants . Ce sont des molécules qui permettent de lutter contre cette oxydation. On les trouve souvent dans une alimentation très riche en vitamines et minéraux (qui ont cet effet antioxydant).

La baie de gojiest la source naturelle la plus riche en caroténoïdes, un pigment naturel antioxydant et liposolubles.
On y trouve également deux autres antioxydants : axanthine et lutéine. Deux antioxydants clés pour la santé oculaire. En effet, ils se concentrent au niveau de la rétine et protègent l’œil des radicaux libres.

Effets généraux

Renforcement du système immunitaire.
La baie de goji contient 3 substances qui renforcent ce dernier : les polysaccharides, le bêta-carotène et le germanium.
Ses polysaccharides sont des composants des hydrates de carbone que la petite baie contient. Ils sont connus pour leur action de renforcement du système immunitaire et de protection des cellules des mutations génétiques.

Par ailleurs, certains travaux de recherche ont prouvé que le bêta-carotène avait un effet positif sur la fonction du thymus (une glande clé de l’organisme pour produire certains éléments du système immunitaire).

Enfin, le germanium est un minéral qui a des propriétés anticancéreuses reconnue & favorise la production d’interférons (protéines produites par les cellules du système immunitaire).

Renforcement de la santé cardio-vasculaire
Certaines études prouvent que la baie de goji permet l’augmentation de la production de la SOD. Qu’est-ce donc ? La SOD est un super antioxydant, également appelé superoxyde dismutase, qui enraye l’oxydation du cholestérol. Il faut bien comprendre que la production de cholestérol est naturelle. C’est le foie qui est en charge de ce dernier. Le cholestérol est absolument capital pour la production de certaines hormones dans notre corps. Il n’est pas bon ou mauvais. Il ne peut y avoir un risque que lorsque le cholestérol rencontre des radicaux libres. Il va alors s’oxyder et adhérer aux parois de nos artères, qui, combiné avec des nanobactéries qui produisent du calcium, forme alors une plaque.

Renforcement de la santé cérébrale et neurologique.
Les baies de goji permettent à l’organisme humain de produire de la choline, une substance nutritive, qui permet de produire un neurotransmetteur, l’acétylcholine qui joue un rôle important aussi bien dans le système nerveux central, où elle est impliquée dans la mémoire, la concentration et l’apprentissage.

Renforcement des organes vitaux
Étant donné sa caractéristique adaptogène, la baie de goji maintient nos organes vitaux en bonne santé. Elle stabilise la glycémie et prend soin ainsi de notre pancréas (responsable de la régulation du taux de sucre sanguin).

Elle améliore aussi la santé de notre foie, car les phytonutriments qu’elle renferme renforcent la fonction détoxifiante du foie. Outre les polysaccharides et les antioxydants on y trouve également de la bétaïne qui purifie le foie et annihile un acide aminé toxique : l’homocystéïne.

En Asie, on utilise cette baie en tisane pour soigner le diabète et réguler l’hyperglycémie.

Amélioration de la vue.
Du fait, de la richesse des deux antioxydants cités ci-dessus : axanthine et lutéine. Ils luttent contre le vieillissement des cellules de la rétine.

Amélioration de la libido
En Asie, ces baies sont connues et utilisées pour leur aspect de tonique sexuel. En fait, elles ont un aspect tonifiant sur plusieurs sphères autres que celle-ci.


Comment bien les choisir ?

Mention biologique : On ne le répétera jamais assez, mais choisir du non-bio c’est choisir des baies qui ont été pulvérisées de pesticides chimiques et d’anhydride sulfureux, deux composants toxiques pour le corps humain. N’oubliez pas également, une production de qualité biologique permet de meilleures propriétés nutritives et de plus belles saveurs.

Humide, mais pas trop : Les baies doivent être légèrement humides mais pas trop. Si elles sont trop molles c’est le signe qu’elles ont été trempées dans une eau sucrée, puis remises à sécher. Celles qui sont trop sèches sont également à éviter. Choisissez des baies moelleuses et un peu humides.

Couleur : Elles doivent être d’une belle couleur rouge, mais pas trop intense non plus. Quand le rouge est trop voyant cela prouve qu’elles viennent de l’agriculture traditionnelle utilisant divers intrants chimiques, notamment pour colorer ces dernières.


Vous souhaitez faire un rééquilibrage alimentaire, ou vous avez un soucis de santé ? Je peux vous accompagner avec la naturopathie, à mon cabinet ou à distance, en téléconsultation, par téléphone / Skype / autres outils.

Cliquez ici pour en savoir plus !